Il s’agit, pour chaque établissement volontaire, d’utiliser les sources de données informatisées disponibles localement (PMSI, DPI, logiciels de microbiologie, de bloc…) pour repérer les potentiels cas d’ISO via des critères de suspicion.
Le volet « Prévention » du programme Spicmi repose sur la mise à disposition de différents outils d’évaluations (audits, enquêtes) pour faciliter la réalisation par les établissements d’un état des lieux, d’un diagnostic de l’organisation et des pratiques.
Grâce à la participation des établissements, Spicmi peut ensuite créer des supports nationaux de promotion des bonnes pratiques répondant aux problématiques constatées. Ces supports visent à améliorer la prise en soin des patients opérés et la qualité et la sécurité des pratiques professionnelles.